Évaluez les accréditations de l’école et son réseau

Vos diplômes doivent être de valeur auprès des établissements hôteliers. Il est ainsi essentiel que vous vérifiiez les accréditations de votre école.

Les accréditations de l’école

Privilégiez une école d’hôtellerie et de restauration de luxe disposant d’accréditations attribuées par la CTI, l’EFMD, l’AACSB ou le CEFDG comme c’est le cas de l’Institut Lyfe. Cliquez ici pour en savoir plus sur cette école.

Pourquoi ces accréditations sont-elles importantes ? Parce qu’un tel établissement propose, non seulement d’excellents programmes d’enseignement et un accompagnement personnalisé, mais leurs formations sont également reconnues et valorisées par les entreprises du secteur.

Par ailleurs, grâce à ces labels de qualité, vous aurez l’opportunité de poursuivre vos études à l’étranger. Vous pouvez même construire votre carrière en dehors des frontières nationales après vos études, car votre diplôme sera reconnu et valorisé partout.

Bref, ces types d’accréditation vous permettent de déterminer les institutions en gestion hôtelière répondant aux normes d’éducation et vous permettant d’accéder à des entreprises de renom en France ou ailleurs, après votre formation.

Le réseau d’alumni et partenaires professionnels de l’établissement

N’hésitez pas à fréquenter une école supérieure en hôtellerie et restauration de luxe disposant d’un réseau d’anciens élèves, car vous aurez ainsi le soutien de la communauté durant votre apprentissage. Elle peut par exemple vous indiquer des stages à réaliser pour compléter vos acquis, vous aider à intégrer le pays où vous allez étudier et à dénicher un logement. Même des années après votre parcours, vous pouvez joindre le groupe pour trouver facilement un emploi. Contactez-le aussi pour découvrir des événements professionnels et des conférences intéressantes.

Un établissement qui a un lien étroit avec des partenaires professionnels et des industries du secteur est aussi idéal. Ces acteurs clés peuvent offrir des expériences enrichissantes pour les étudiants et faciliter leur insertion dans le monde du travail.

Analysez les programmes et spécialisations de l’établissement

Lorsque vous cherchez une école d’hôtellerie, vérifiez comment sont la diversité et la qualité de ses programmes et spécialisations.

Masters en management du luxe, gastronomie ou sommellerie

Si vous choisissez un institut de prestige, vous pouvez, selon vos aspirations professionnelles, suivre :

• Un master en management du luxe : pour maîtriser les spécificités du marché de l’hôtellerie, gagner des compétences en stratégie d’entreprise et en gestion d’équipe, etc.
• Un master dans le domaine de la sommellerie : pour avoir des connaissances plus approfondies en œnologie. Vous aurez ainsi le savoir-faire nécessaire pour des postes à responsabilité.
• Un programme en management de la gastronomie : pour être formé pour diriger des projets ou une société dans le domaine de la restauration.

Pédagogie et expérience pratique proposées par l’école

Avant d’intégrer une école supérieure en hôtellerie et restauration de luxe, voyez :

• Comment sont ses infrastructures ? Est-ce qu’elle dispose de laboratoires de cuisine pour des mises en situation professionnelle et propose des activités pratiques ?
• Les hôtels (qu’elle dispose) où les apprenants peuvent expérimenter les conditions réelles de l’industrie.
• La qualité de son corps professoral. Sont-ils reconnus dans le secteur et à jour des réalités du marché ?
• Si les diplômes qu’elle délivre sont reconnus par l’État.
• Si elle est en partenariat avec d’autres sociétés dans le secteur, car c’est idéal pour l’alternance, trouver des stages et des débouchés.
• Si elle offre des opportunités d’échange à l’international pour que vous puissiez vous ouvrir à d’autres cultures.

Analysez le coût et les possibilités de financement des études

Avant de fixer votre choix d’école supérieure d’hôtellerie, comparez les frais de scolarité des institutions qui vous intéressent. Vérifiez ce qui y est inclus, les stages, le matériel, les voyages d’études, etc., et ce qui est à votre charge. Vérifiez si l’établissement est habilité à recevoir des étudiants boursiers et où les masters sont éligibles à des bourses.

Le day-trading et l’ETF

Avec 1500 euros, vous pouvez faire du day-trading qui consiste à effectuer des opérations de trading régulièrement chaque jour et à court terme. Pour cela, il vous suffit d’ouvrir les positions sur un marché spécifique le matin en début de journée et de les clôturer en fin de journée. Vous pouvez par exemple faire du trading sur le Forex ou le pétrole. Vous pouvez aussi investir vos 1500 euros dans un ETF pour un placement à long terme. Il y a différents types d’ETF parmi lesquels vous pouvez choisir d’investir et qui vous permettra d’encaisser des revenus réguliers tout en préservant votre capital. L’idéal est de répartir votre argent entre deux ou trois ETF.

Acquérir des actions REIT, investir dans l’or et ouvrir un contrat d’assurance vie

Si vous voulez investir vos 1500 euros, acquérir des actions REIT est aussi une excellente idée. Ce sont des actions d’entreprises qui administrent des parcs immobiliers. C’est donc une sorte d’investissement immobilier, un placement locatif, qui s’effectue via la bourse. Acquérir des actions REIT est un bon moyen d’investir dans l’immobilier avec un petit budget. Parmi les actions REIT que vous pouvez acheter, on peut notamment citer Unibal-Rodamco, Equinix, Prologis, etc.

Avec 1500 euros, vous pouvez également investir dans l’or qui se mesure par l’once. Or, une once vaut aujourd’hui environ 2000$. Donc, 1500 euros est amplement suffisant pour faire un placement dans l’Or via un contrat CFD par exemple. Mais vous pouvez aussi tout simplement acheter de l’or physique.

Enfin, avec 1500 euros, vous pouvez aussi souscrire à un contrat d’assurance vie qui offre un rendement un peu faible qui est un investissement assuré et avantageux fiscalement parlant et sur le long terme. C’est d’ailleurs pour cela que l’assurance vie est le placement privilégié de la plupart des Français.

1. Pour répondre à l’urgence environnementale

Les émissions mondiales de gaz à effet de serre du numérique sont supérieures à celles de l’aviation civile. Comment a-t-on pu déterminer cela ?

Grâce à une mastère numérique responsable, équivalent à un Titre RNCP niveau 7 Bac +5, les professionnels du numérique peuvent être capables de mesurer l’empreinte carbone d’une activité avec précision. Ils peuvent mesurer l’impact d’un phénomène par la quantification de ce qui peut l’être. En suivant ce type de cursus, vous pouvez :

Maîtriser les outils d’évaluation écologique

Ces cursus enseignent l’utilisation d’outils de mesure carbone adaptés au secteur numérique. Par exemple, les méthodes d’analyse du cycle de vie permettent d’évaluer l’impact des produits et services numériques sur l’environnement. Les étudiants maîtrisent également les référentiels internationaux qui encadrent les bonnes pratiques environnementales dans le domaine technologique.

Développer des solutions à faible impact

La conception de services numériques moins énergivores constitue un axe majeur de ce type de formation spécialisée dans le numérique écologique. Les étudiants découvrent comment réduire la consommation en énergie des applications et sites web dès leur conception. Certaines formations en mastère numérique responsable abordent également les techniques d’écoconception logicielle qui prolongent la durée de vie des équipements.

2. Pour donner du sens à son métier

Les professionnels du numérique recherchent désormais à faire une correspondance entre leurs valeurs personnelles et leur activité professionnelle. La spécialisation en numérique responsable répond à cette quête de sens dans le secteur technologique. Cette formation permet de faire épouser expertise technique et envie d’apporter une contribution positive aux enjeux sociétaux.

Marier technologie et valeurs personnelles

Le cursus de formation en technologies responsables intègre une dimension éthique. Les étudiants apprennent à questionner l’utilité réelle des innovations avant leur déploiement. Cette approche critique du progrès technologique aide à créer des solutions véritablement utiles plutôt que superflues.

Devenir un influenceur, un acteur de la sensibilisation/prévention ou un lanceur d’alerte

Les diplômés d’un mastère numérique responsable acquièrent la capacité d’influencer les décisions stratégiques de leur organisation. Ils deviennent des référents capables de guider les équipes vers des pratiques plus vertueuses. Leur expertise leur permet de changer progressivement la culture d’entreprise autour des questions environnementales liées au numérique.

3. Pour se différencier sur le marché du travail

De plus en plus de recruteurs recherchent activement des candidats formés aux pratiques numériques durables dans un contexte réglementaire plus exigeant. Le mastère numérique responsable développe chez les étudiants des compétences rares et valorisées par les entreprises soucieuses de leur impact écologique. Cette spécialisation offre aux participants à la formation un avantage concurrentiel sur un marché de l’emploi en pleine mutation.

Répondre aux nouvelles exigences réglementaires

Les législations européennes et nationales imposent désormais des obligations environnementales aux entreprises du numérique. Dans le programme de formation, des cours (par exemple : un cours dédié à l’éthique de l’IA ou à la protection des données) préparent à ces défis réglementaires. Les diplômés savent anticiper et mettre en œuvre les mesures qui respectent ces cadres juridiques en constante évolution.

Accéder à des postes stratégiques

De nouveaux métiers émergent autour du numérique responsable dans tous les secteurs économiques. Les diplômés peuvent prétendre à des fonctions de direction ou s’orienter vers le conseil en transformation digitale. Les formations avancées en numérique éthique ouvrent également des perspectives dans les institutions publiques qui élaborent les futures réglementations environnementales.

Un projet flou

Quand on se lance dans un projet, les objectifs à atteindre doivent être bien clairs et précis. Ils devraient être mesurables et surtout réalisables. Si les objectifs que vous imposez ne suivent pas cette norme, vos employés auront du mal à les réaliser.

Une mauvaise planification

Pour qu’un projet puisse aboutir correctement, il faut avoir un plan bien défini. Un plan mal défini pourrait alors vous causer de sérieux problèmes. Par exemple, si vous n’aviez pas une idée précise de la date d’échéance du projet, vous n’allez pas savoir combien d’argent il faut pour certains achats. Vous allez ainsi vous perdre, car vous ne savez pas quelles sont les priorités.

Une mauvaise évaluation des opportunités et des menaces

Avant de se lancer dans un projet, il faut savoir évaluer les risques. Si vous n’étudiez pas tous les risques possibles, cela peut faire échouer votre projet. Ne pas saisir des opportunités peut également nuire à vos projets.

Un mauvais entourage

Ce sont les ressources humaines qui vont le plus travailler pour réaliser votre projet. Si vous vous entourez de mauvaises personnes, les objectifs ne seront pas atteints. Les employés qui ne sont pas assez motivés pour travailler constituent alors des individus incompétents qui peuvent retarder vos projets. Sachez que cela ne sert à rien d’avoir beaucoup de ressources humaines, si elles ne sont pas efficaces. Au contraire, elles ne feront que constituer une barrière à vos objectifs.

Une mauvaise gestion des matériels

Ici, on parle des ressources matérielles qui vont vous servir dans la construction elle-même. Si ces matériels ne sont pas assez performants, cela pourrait devenir un frein à la réalisation du projet.

Installez vos bureaux fermés dans un espace de coworking à Paris

Les espaces de coworking parisiens proposent différents espaces de travail à leurs clients. La location de bureaux privatifs en fait partie. En choisissant de louer ce type de bureau dans un coworking, vous pouvez travailler au calme sans pour autant sacrifier la convivialité.

Flexibilité sur la durée de location

Les besoins des entreprises, notamment parisiennes, évoluent sans cesse. Voilà pourquoi elles sont à la recherche d’un espace de travail adaptable à leurs besoins. Les bureaux privatifs à Paris sont des espaces de travail pratiques, ergonomiques, équipés, propices au travail et à la productivité. Vous avez le choix entre une location à l’heure, par jour, par semaine et même par mois. Les horaires de location sont flexibles pour vous permettre de trouver un cocon propice à votre concentration.

Une offre complète à prix intéressant

Les bureaux fermés à Paris proposés en coworking sont déjà meublés. Vous profitez en plus de tout le confort et des services disponibles sur place : la connexion internet, l’accès à la salle de réunion, le ménage, l’eau et l’électricité, un forfait d’impression, etc. Vous pouvez également vous abonner à divers services en option si votre entreprise en a besoin. Le coût de location comprend déjà l’occupation de l’espace et les services inclus. Rassurez-vous, le coût reste intéressant, car les frais de services (internet, etc.) sont mutualisés par les entreprises locataires.

Confidentialité et convivialité

Les bureaux privatifs dans un coworking à Paris permettent à votre entreprise de recevoir vos clients, partenaires, etc. en toute confidentialité. Vos discussions restent privées. Les autres entreprises locataires n’en sauront rien. Mais même si vous louez des espaces de travail privatifs, vous avez toujours accès aux espaces communs du coworking : espace détente, coin repas, etc. Bref, vous pouvez profiter de la convivialité tant reconnue aux espaces de coworking. C’est aussi l’occasion de faire de nouvelles rencontres, d’échanger avec les autres coworkers et de développer votre networking.

Les meilleurs quartiers pour louer des bureaux fermés à Paris

Le choix du quartier d’implantation de votre société dépend de votre activité. Pour vous guider, vous devez vous baser sur 3 critères essentiels dont :

• la proximité géographique avec vos fournisseurs et partenaires
• le lieu de résidence de vos collaborateurs
• votre enveloppe budgétaire

Ce qui est intéressant avec le coworking à Paris, c’est qu’il propose des bureaux dans des quartiers bien situés. Parmi les quartiers professionnels les plus prisés à Paris où vous pouvez trouver des bureaux fermés en coworking, il y a :

Le quartier de la Défense

Ce quartier d’affaires est marqué par la présence de nombreux gratte-ciels où siègent les institutions financières, les bureaux prestigieux et les entreprises internationales. La location de bureau fermé dans ce quartier parisien peut représenter un coût, mais reste un investissement intéressant pour l’image de votre entreprise.

Le quartier animé de Montparnasse

C’est un quartier d’affaires dynamiques alliant croissance économique et histoire artistique. En choisissant un bureau fermé dans un coworking à Montparnasse, vous profitez d’un cadre de travail stimulant.

Les actionnaires, définition et attribution

On appelle actionnaire, la personne qui détient une ou plusieurs actions. C’est un investisseur en capital qui est aussi un type de propriétaire partiel.
En fait, il est très difficile pour une entreprise de fonctionner sans la présence des actionnaires. Sauf dans le cas où l’entreprise dispose d’un capital qui lui est propre à l’aide des dettes bancaires ou des avances remboursables. Mais cela revient au même, l’entreprise dépend financièrement d’une aide extérieure. Par ailleurs, les actionnaires disposent de 3 droits au sein de l’entreprise où ils investissent. Le premier est le droit à des dividendes. Les participations aux bénéfices s’organisent alors selon la valeur de l’action. Le second est le droit de vote. Tout actionnaire (minoritaire comme majoritaire) a le droit de voter lors des assemblées générales. Mais dans les sociétés SARL, les actionnaires minoritaires ne disposent pas du droit de mettre fin au mandat du gérant. Le dernier est le droit de contrôler. Effectivement, les actionnaires ont le droit d’être informés des comptes de l’entreprise avant et pendant une assemblée générale. Même les minoritaires disposent de ce droit.

Les bailleurs de fonds et leurs utilités

On appelle bailleur de fonds une personne qui prête de l’argent pour constituer une capitale ou un financement de projet. Ces groupes d’individus n’accordent pas de l’argent à n’importe quelle entreprise le demandant. Ils prêtent leur argent dans le but de récolter des bénéfices et non le contraire. Pour s’assurer que leur investissement soit rentable, ils vont alors établir des conditions pour avoir une assurance. Il est alors nécessaire de les persuader d’investir dans votre établissement. Pour cela, il faut au moins 3 critères pour les convaincre. La viabilité du projet est l’un des éléments qui assurera leur placement. Il faut que votre projet soit sûr de porter ses fruits. C’est-à-dire que le projet possède déjà des plans effectués (étude de marché et plan d’opération). D’autre part, il faut se démarquer en montrant votre expertise. C’est une garantie indispensable pour assurer le succès de l’investissement que va effectuer le bailleur de fonds. Faites en sorte aussi d’avoir une preuve de concept, des contrats ou des promesses d’achat. En effet, des preuves de réussite du projet sont très utiles pour influencer les bailleurs de fonds, surtout s’il s’agit d’un investissement important.

La maîtrise de la langue anglaise constitue un atout de taille dans le monde professionnel. Elle peut même ouvrir des opportunités internationales inédites et propulser votre carrière à un tout autre niveau. Pour développer vos compétences sans grever votre budget, vous pouvez utiliser votre compte personnel de formation (CPF). De plus, il est possible d’optimiser son financement grâce à des astuces pratiques.

Connaître le fonctionnement du CPF en 2025

Mis en place en 2014, le CPF est un compte personnel permettant à chaque actif de financer ses formations tout au long de sa carrière. Les salariés à temps plein peuvent accumuler 500 € par an, avec un plafond de 5 000 €. Ce plafond a été fixé pour inciter à utiliser les fonds régulièrement. Pour les professionnels peu qualifiés, le crédit annuel peut s’élever à 800 €, avec un plafond majoré à 8 000 €. Le montant accumulé peut ensuite être utilisé pour payer une formation certifiante en anglais comme le TOEIC et le TOEFL.

Selon les données d’ETS Global, organisme responsable du test TOEIC, 91% des candidats estiment que cette certification valorise leur CV et 88% pensent qu’un score élevé les distingue lors d’un recrutement. Ces chiffres reflètent l’importance de la maîtrise de l’anglais sur le marché de l’emploi. Pour tirer le meilleur parti de votre compte personnel de formation, n’hésitez pas à consulter un guide complet sur le financement CPF des formations en anglais.

Choisir une formation certifiante adaptée à ses besoins

La meilleure façon d’optimiser votre financement CPF est de choisir une formation certifiante en anglais, adaptée à vos objectifs et votre niveau. Parmi les programmes éligibles, nous pouvons citer le TOEIC, le TOEFL ou le Linguaskill. Ils sont également reconnus par les employeurs du monde entier. Réussir l’un de ces tests est effectivement considéré comme une preuve de vos compétences en anglais, augmentant ainsi votre attractivité sur le marché de l’emploi.

Il convient de bien évaluer vos objectifs avant de choisir une formation en particulier. Souhaitez-vous améliorer votre anglais des affaires (Business English), préparer un examen ou développer une aisance conversationnelle ? De nombreuses plateformes de formation proposent des parcours personnalisés, accessibles en ligne ou en présentiel. En tout état de cause, maîtriser la langue de Shakespeare améliore significativement l’employabilité.

Faire appel à des cofinancements

Si votre solde CPF ne couvre pas l’intégralité des frais de formation, sachez que des solutions de cofinancement existent. Vous pouvez notamment solliciter votre employeur dans le cadre du plan de développement des compétences. De nombreuses entreprises acceptent de compléter le financement pour des formations stratégiques comme l’anglais qui bénéficient à la fois au salarié et à l’entreprise.

Les demandeurs d’emploi, quant à eux, peuvent faire appel à France Travail, anciennement Pôle emploi, pour compléter leur financement de formation. De plus, cet établissement public continue de renforcer son soutien aux formations linguistiques dans le cadre de programmes visant à favoriser le retour à l’emploi. Une autre option consiste à utiliser des fonds propres pour compléter le solde CPF, d’autant que les formations certifiantes sont éligibles à des crédits d’impôt pour la formation professionnelle.

Les étapes clés pour mobiliser son CPF

Il suffit de suivre quelques étapes simples pour mobiliser votre CPF pour une formation en anglais. Commencez par vous connecter à votre compte sur le site ou l’application Mon Compte Formation. Recherchez une formation en anglais certifiante parmi les offres disponibles et vérifiez les avis laissés par d’anciens stagiaires.

Une fois votre choix arrêté, inscrivez-vous directement via la plateforme. Si un complément de financement est nécessaire, contactez votre employeur ou France Travail pour obtenir un accord. À noter aussi que certains centres de formation proposent des sessions d’évaluation gratuites pour ajuster le programme à votre niveau.

Garder le moral malgré que ce soit dur

Créer votre propre activité ne sera pas de tout repos. Gardez en tête que vous aurez énormément d’obstacles à passer et de difficultés à affronter. Aussi, faites tout pour garder le moral. Gardez le positif plutôt que le négatif et commencez chaque journée avec quelques mots d’encouragement que vous allez vous adresser à vous-même.

Parler de votre projet

Parler de votre projet permet de le rendre un peu plus réaliste, mais est aussi nécessaire pour le peaufiner. Vous avez beau être le seul maître à bord, vous aurez besoin de l’aide, du soutien et des conseils de votre entourage, voire de quelques professionnels pour que l’entreprise soit viable.
Attention toutefois, c’est une arme à double tranchante. Il se peut que tous les avis ne vous conviennent pas. Vous devez donc toujours garder le moral et savoir vous tenir droit dans vos bottes pour ne pas vous laisser influencer par ceux qui ne croient pas en vous et en votre projet.

Respecter les différentes phases de préparation du projet

Créer une entreprise ne se fait pas du jour au lendemain. Vous devez être patient. Il y a quelques étapes à passer avant de pouvoir tirer un revenu de votre nouvelle activité. Vous devez notamment présenter votre projet, mais aussi passer par une phase de test et le peaufiner avant le lancement officiel.
Inutile de préciser que, pour vous établir durablement sur le marché, vous devez aussi faire une étude de la concurrence et trouver la bonne manière de vous y faire une place. Ne vous laissez pas décourager par les échecs qui peuvent être nombreux en cours de route.

Le remboursement des soins en portage salarial à Marseille

Grâce à son statut de salarié porté à Marseille, le consultant doit obligatoirement être rattaché au régime général de la sécurité sociale. Il est également affilié à une caisse d’assurance maladie. Par conséquent, il a droit au remboursement de ses frais de santé, que ce soit en cas de maladie ou de maternité. Si vous avez déjà des droits ouverts auprès de la sécu, ces derniers seront prolongés durant le portage salarial à Marseille. Dans le cas contraire, vous pouvez en ouvrir en justifiant de votre nouvelle activité professionnelle en portage salarial.

Depuis 2016, la loi impose aux employeurs, et également aux sociétés de portage salarial, telles que regie-portage.fr à Marseille, de proposer une mutuelle d’entreprise collective à leurs employés/consultants. Cela étant fait afin de garantir le remboursement des soins de base tels que les soins dentaires, le forfait journalier hospitalier, etc.

Les indemnités journalières en cas d’arrêt de travail

En cas d’arrêt maladie, la couverture sociale verse également des indemnités journalières dont le montant correspond à 50% de la tarification journalière du salarié porté à Marseille. Les salaires perçus durant les trois derniers mois serviront de référence pour ce calcul.

Cependant, cet avantage reste attribuable sous certaines conditions. La première est que l’arrêt maladie ne doit pas dépasser 6 mois. De plus, durant les trois derniers mois précédant cet arrêt, il doit au moins avoir cumulé 150 heures de missions auprès de sa société de portage salarial à Marseille.

Si l’arrêt de travail dépasse les 6 mois, la perception des indemnités journalières ne se fera que si le consultant est immatriculé à la sécurité sociale au moins 12 mois avant l’arrêt maladie.

Pourquoi faut-il prospecter un client ?

On se réfère aux clients lorsqu’on analyse des demandes ou des besoins, pour réaliser une offre y répondant. Ils comptent toujours pour un acte de commerce isolé, par exemple : les commerçants. Il y a aussi les actes de commerce effectué par l’entreprise tels que les opérations de banque, de change, de courtage. On peut dire alors qu’on prend en compte les besoins des clients pour créer un produit de consommation. On prospecte également les clients afin de les sensibiliser et de les inciter à choisir l’offre en question, cela dans le but d’augmenter les ventes et d’assurer la prospérité de l’entreprise. En outre, le client participe à la production de service, puisqu’il fournit l’information qui permet à l’entreprise de donner ses meilleures prestations. La prospection du client est de plus utile dans le but de pouvoir faire face à la concurrence.

Comment procède-t-on à la prospection de client ?

En fait, on procède en ciblant de nouveaux clients. La méthode SMART : Simple, Mesurable, Acceptable, Réalisable, Temporel, est alors adoptée pour fixer des objectifs comme les challenges, les quantités, les premiers choix, les dates butoirs, etc. Selon le prospect, chaud ou froid, on agit différemment. Dans le cas de la Hot Target (prospect chaud), il y a le client potentiel qui est difficile à convaincre. Pourtant, il est très intéressé par l’offre et il envisage sûrement d’acheter. Le prospect froid, quant à lui, a juste besoin d’une incitation à l’achat, même s’il ne connaît pas forcément l’offre. Quoi qu’il en soit, il faut être dans la peau du client pour trouver les mobiles le poussant à accepter. D’autre part, il faut distribuer des prospectus mettant en évidence l’expérience, l’ancienneté, les références connues de l’entreprise. On peut d’ailleurs faire des prospections grâce à l’utilisation de la technologie. On présente ainsi l’entreprise, ses offres, ses services et les avantages qu’ils apportent pour le client. Pour optimiser le résultat, le message commercial doit être de même attirant et percutant, mais aussi apaisant et convaincant. Le point final du message invite le client sur les réseaux sociaux par le biais des coordonnées, d’un code QR, d’un coupon-réponse, etc.